Au regard de la majorité masculine, je me retrouve alors beaucoup moins déterminée à intervenir et pourtant à quelques minutes de la fin, alors que peu de questions avaient été posées (davantage d'exposé exclusivement réservé aux hommes), je demande si les troubles cités chez l'homme pourraient se rencontrer chez la femme sous d'autres formes, et tend à parler de sécheresse vaginale quand par ailleurs tout va bien dans la tête et donc l'envie de son partenaire : je me souviens avoir eu un regard intrigué du sexologue présent disant qu'à ce jour qu'il n'en avait pas entendu parler et que sans doute le problème se situait ailleurs!!
Je suis sortie furieuse et humiliée. Ma copine aussi. Précisons que j'accusais alors 34 ans d'un diabète type 1 et mon amie 8 ans : toutes les deux assujetties à trouver des astuces (tube de lubrifiant planqué au fond du sac, sous la taie d'oreiller...et bien d'autres encore!!!)