Notre plus mauvais ami, pas très franc, sournois, parfois pervers, qu’est le diabète, peut devenir un adversaire sinon un ennemi méchant.
Nous ne devons pas ignorer cette situation car si notre ennemi nous fait peur ce doit être pour mieux accepter notre maladie, nous fortifier dans le suivi de son traitement au long cours.
Ne nous sentons pas à l’abri de tout risque, mais faisons preuve de sagesse pour véritablement vivre comme tout le monde. Notre force doit être dans un état d’esprit de surveillance, de prudence, de vigilance et même de méfiance contre ce diabète insaisissable, quand à ses rebonds, ses revirements, ses infiltrations qui le rendent imprévisible sur ces conséquences.