En adéquation avec la valeur d'humanisme que nous défendons au sein de la Fédération, nous vous proposons régulièrement des portraits ou témoignages de bénévoles de notre réseau. Aujourd'hui, Catherine Bellais, présidente de l'AFD 51 est à l'honneur.
Pouvez-vous nous parler de votre engagement associatif à la Fédération Française des Diabétiques ?
En 2005, dans le cadre de mon parcours professionnel, je fais la connaissance de la Présidente de l’AFD 51, Chantal Muriot. Depuis nos relations n’ont jamais cessé. Devenue diabétique en 2007, j’ai dû faire face à un certain nombre de questionnements importants sur le diabète. Mon médecin n’avait pas le temps de répondre à toutes mes interrogations et tout naturellement j’ai rejoint l’AFD51 en tant qu’adhérente. J’ai par la suite été formée par le Siège de la Fédération en devenant « Bénévole Patient Expert », formation certifiante en Education Thérapeutique du Patient. Le besoin de transmettre mes connaissances est devenu un objectif essentiel pour moi. C’est en 2018, que, je suis élue Secrétaire de l’AFD51, puis en juin 2021, Présidente. Plusieurs raisons me poussent à poursuivre mon engagement :
• Être utile à la société et agir pour et avec les autres
• Faire partie d’une équipe et partager les projets, les enjeux de la politique de santé
• Acquérir de nouvelles compétences
• Mesurer l’impact de nos efforts en évaluant les animations
• Exercer une responsabilité
Quelles évolutions avez-vous vécues eu sein de votre association et de la Fédération ?
Etant nouvelle à ce poste, j’ai observé une excellente communication avec le Siège de la Fédération. La création du projet associatif nous a par ailleurs, permis d’identifier nos objectifs afin qu’ils soient mesurables, réalisables et pertinents.
Le mot de la fin ?
Cette première année de Présidence fut très riche malgré la crise sanitaire. Nous nous sommes rassemblés avec les bénévoles afin de maintenir une équipe soudée, forte de propositions. J’ai apprécié tous ces moments passés en leur présence. J’ai le sentiment d’appartenance à une grande famille. Malgré les épreuves qui ont parcouru cette année, je n’ai rien perdu de mon engagement et je dirais même que je voudrais m’investir davantage.