Selon les auteurs, la majorité de la population mondiale est répartie dans les villes et ce phénomène ne fera que s'accroître. Cette augmentation de population dans les métropoles induirait l'utilisation massive des véhicules personnels et contribueraient à développer les maladies non-transmissibles (maladies cardiovasculaires, diabète et cancers) liées à la pollution de l'air et au manque d'activité physique.
Un concept de ville compacte plus saine et plus durable
Les auteurs ont donc créé un modèle de ville basée sur la science (évaluation de l'impact sanitaire dus aux facteurs environnementaux) et la proximité des transports en commun. Ils ont expérimenté leur modèle dans six villes (Melbourne, Londres, Boston, Sao Paulo, Copenhague, et New Delhi) et ont pu constater que la pollution et les maladies non-transmissibles diminuaient.
Source : http://www.thelancet.com/series/urban-design
23/09/2016