De manière surprenante, certaines deviennent diabétiques et d’autres non. Ils ont ainsi pu montrer que les souris diabétiques ont une flore microbienne différente que celles qui ne développent pas la maladie.
Ils ont aussi modifié les flores en ajoutant des fibres alimentaires aux régimes, et constaté que le métabolisme des animaux ainsi nourris était proche de celui des souris non diabétiques.
En conclusion, cette étude met l’accent sur l’influence de la flore intestinale dans l’arrivée d’un diabète, mais aussi sur l’importance des fibres alimentaires pour réduire le risque de développer cette maladie.
Source : Gut, avril 2012, 61(4):543-53.
Metabolic adaptation to a high-fat diet is associated with a change in the gut microbiota.
Serino M, Luche E, Gres S, Baylac A, Bergé M, Cenac C, Waget A, Klopp P, Iacovoni J, Klopp C, Mariette J, Bouchez O, Lluch J, Ouarné F, Monsan P, Valet P, Roques C, Amar J, Bouloumié A, Théodorou V, Burcelin R.
Auteur : Loïc Leroux
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